Nos engagements
Amélioration Continue de la Qualité et de la Sécurité des Soins
Démarche qualité – certification
La politique qualité de l’établissement répond à 3 exigences :
- conformité aux textes législatifs et réglementaires
- recherche permanente de qualité et sécurité des soins
- réponse la plus adaptée aux attentes et besoins des usagers
Une qualité certifiée – L’établissement a satisfait à la procédure de certification de la Haute Autorité de Santé (HAS) en septembre 2012.Une attention particulière est portée sur le respect des droits des usagers et leur information.e de leur domicile.
Outre les informations contenues dans ce livret, tout renseignement complémentaire est disponible par l’intermé-diaire du cadre et/ou affiché dans le service (règlement intérieur, moyens d’être mis en relation avec les représentants des usagers, les associations de bénévoles ayant conclu une convention avec l’IDAC, les représentants des cultes, …).
Quelques indicateurs
Plusieurs indicateurs ont été mis en place par la Haute Autorité de Santé permettant d’évaluer la qualité et la sécu-rité des soins alloués par l’IDAC :
Indicateurs de gestion du risque infectieux :
- lutte contre les infections nosocomiales et associées aux soins (score ICALIN)
- bon usage des antibiotiques (ICATB)
- consommation de solution ou de produits hydro alcooliques (ICSHA)
Indicateurs de la qualité de la prise en charge du patient :
- tenue du dossier patient
- délai d’envoi du courrier de fin d’hospitalisation
- dépistage des troubles nutritionnels
- évaluation de la douleur
Dons d’organes
Le consentement présumé
En France, la loi considère que tout le monde est donneur d’organes par défaut : ne pas s’inscrire au registre natio-nal des refus, c’est accepter de donner ses organes.Dans les faits, avant d’entreprendre un prélèvement, les équipes consultent toujours les proches du défunt pour s’assurer qu’il n’avait pas manifesté d’opposition au don, ou qu’il avait confirmé son accord pour le don d’organes.
Exprimer son choix
Pour faire respecter sa volonté – et pour être sûr de respecter celle des autres – il est donc indispensable d’en avoir parlé clairement.
Don du corps à la science
A l’inverse du don d’organes, donner son corps à la science consiste à léguer son corps à la faculté, notamment pour que les étudiants en médecine apprennent l’anatomie. Cela se décide de son vivant car ce choix doit être exprimé par écrit, à la main : il s’agit d’un acte de donation. Seuls les adultes peuvent faire don de leur corps à la science en faisant une démarche auprès de la faculté de médecine la plus proche de leur domicile.
La lutte contre les infections nosocomiales et les infections associées aux soins
Un Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales et les infections associées aux soins (CLIN) définit le programme d’action de l’établissement dans le domaine de la lutte contre les infections nosocomiales.
Ce programme comporte les objectifs à atteindre et les actions à mener en matière de prévention, notamment sur l’hygiène des mains avec l’utilisation des produits hydro alcooliques (PHA) ainsi que l’application des précautions standard d’hygiène, surveillance, formation, information et évaluation. L’hygiéniste met en oeuvre et évalue ce programme avec l’assistance de l’équipe opérationnelle d’hygiène hospitalière. Des référents en hygiène sont désignés au sein des services.
Prise en charge de la douleur
Programme de lutte contre la douleur : les orientations du CLUD
Le programme s’inscrit dans le plan d’amélioration de la prise en charge de la douleur (2006-2010). Un Comité de Lutte contre la Douleur (CLUD) a été mis en place en mars 2007. Le CLUD est une force d’analyse, de propositions, de validation, de coordination et de communication. Le Comité est appelé à travailler en collaboration avec l’ensemble des professionnels de l’IDAC, pour améliorer la qualité de la prise en charge préventive, curative et palliative de la douleur aiguë ou chronique des patients et résidents de l’IDAC.
La douleur n’est pas une fatalité
Grâce à l’impulsion du CLUD, chaque service a mené une réflexion sur ces pratiques et pu mettre en place un programme de lutte contre la douleur adapté aux attentes et aux besoins spécifiques des patients. Des échelles de mesure spécifiques et des protocoles ont été établis pour pouvoir mesurer la douleur et adapter le traitement antalgique. D’autres traitements non médicamenteux sont également proposés (massage, balnéothérapie, relaxation…).
« …Toute personne a le droit de recevoir des soins visant à soulager sa douleur. Celle-ci doit être en toute circonstance prévenue, évaluée, prise en compte et traitée… »
Promotion de la bientraitance et lutte contre la maltraitance
L’établissement inscrit son programme de promotion de la bientraitance dans le cadre de « la politique nationale de lutte contre la maltraitance en institution ».
Cette démarche volontariste a permis de dégager des axes forts dans de nombreux domaines :
- réaménager et restructurer des locaux
- former les personnels
- développer les évaluations des pratiques professionnelles
- améliorer le signalement (réalisation d’une procédure)
Les vigilances
Mise en place d’un Comité des vigilances, de la gestion des risques, de la sécurité et de la qualité (COVIRISQ). Il a pour objectif de s’assurer que l’établissement développe une démarche d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins dispensés aux patients et résidents.
Le développement durable
La prise en compte du développement durable est un engagement de l’établissement. En mars 2011, face à ce nouvel enjeu, le Directoire de l’établissement a décidé de mettre en place une organisation et un programme d’actions pluriannuel, intégrant le développement durable, pour des achats écoresponsables mais également en matière de tri des déchets.